Arthrose du genou,
Cellules Souches et PRP
PRP, Plasma Riche en Plaquettes
Le PRP, Plasma Riche en Plaquettes
Plasma Riche en Plaquettes, ou PRP, est du plasma sanguin contenant des plaquettes à forte concentration et autres facteurs de croissance. Ces plaquettes concentrées contiennent de gros réservoirs (de forme circulaire) ou granules Alpha contenant des protéines bioactives ou facteurs de croissance, et des protéines précurseurs pour initier et accélérer la réparation tissulaire.
Ces protéines peuvent initier la cicatrisation des tissus comme les ménisques, le cartilage, l’os, la coiffe des rotateurs de l’épaule, avec développement de nouveaux vaisseaux et du processus de cicatrisation. Le PRP incite les cellules souches à réparer la lésion. Le PRP est une option thérapeutique pour de nombreuses pathologies orthopédiques, ou en cas d’échec du traitement chirurgical, ou pour parfaire et raccourcir la période post-opératoire.
La thérapie PRP est considérée comme une technique de pointe utilisée depuis quelques années en Europe et aux USA.
Le PRP, qui est un concentré de plaquettes d’environ 5 fois supérieur au taux normal, est obtenu par centrifugation de sang autologue prélevé sur le patient (environ 60cc). Cela permet d’enlever les autres composés du sang, globules rouges et blancs. On obtient aussi du PRP, mais en volume moindre, après centrifugation de moelle osseuse. Le séparateur cellulaire permet en 15 minutes d’augmenter la concentration des plaquettes et des facteurs de croissance de plus de 500 %. Les plaquettes concentrées sont ensuite ré-injectées dans la zone pathologique. Ces plaquettes libèrent des facteurs de croissance en grand nombre, jusqu’à huit fois plus, permettant la cicatrisation des tissus lésés, en stimulant les cellules souches locales et réduisant inflammation et hémorragie.
Ces plaquettes (responsable de la formation de caillots lors de la coagulation sanguine) libèrent, au contact de la lésion ostéocartilagineuse du genou, ou des lésions ligamentaires et tendineuses, une douzaine de puissantes protéines contenues dans les granules alpha des plaquettes et responsables de la cicatrisation tissulaire.
Le PRP peut accélérer le processus de cicatrisation de l'arthrose du genou, des lésions du cartilage et méniscale, du ligament ou de tendons, seul ou associé avec les cellules souches en raison de la présence de facteurs de croissance essentiels incluant : platelet-derived growth factor (PDGF), transforming growth factor beta (TGF beta), etc… stimulant la formation des vaisseaux, des cellules osseuses, cartilage…
Le PRP est sous forme liquide
Il peut être transformé sous forme de gel : Platelet Gel, en 5 secondes, en le mixant avec un
mélange de thrombine et de chlorure de calcium, permettant aux puissants composants
cicatrisant de rester en place lors de l’application. Le platelet Gel est utile dans certains cas
cliniques.
L’injection de PRP
Elle se fait sous anesthésie locale ou légère sédation avec préparation aseptique de la zone
d’injection.
Arthrose du genou (ou de hanche) : L’injection est intra-articulaire.
Lésions ostéoligamentaires ou tendineuses : injection de PRP directement sur la zone lésée, l'injection se fait parfois sous contrôle échographique, si lésion profonde, permettant l'injection directe du produit dans la lésion.
Après 10 minutes environ de repos, le patient retourne à domicile.
Des gestes sont parfois associés et recommandé par le chirurgien, selon les cas.
Suivi post-injection
Une réaction inflammatoire avec douleur modérée est possible pendant 1 semaine.
Le contrôle se fait à 3 ou 4 semaines, on détermine si une nouvelle injection est indiquée. En
pratique, de 1 à 3 injections peuvent être nécessaires, à 1 mois d’intervalle.
Après l’injection, il est conseillé d’éviter les anti-inflammatoires, pendant 1 mois, pour ne pas perturber la réaction inflammatoire naturelle du PRP. Mais des antalgiques sont autorisés.
> PLUS D'INFOS SUR LE PRP
Plasma Riche en Plaquettes, ou PRP, est du plasma sanguin contenant des plaquettes à forte concentration et autres facteurs de croissance. Ces plaquettes concentrées contiennent de gros réservoirs (de forme circulaire) ou granules Alpha contenant des protéines bioactives ou facteurs de croissance, et des protéines précurseurs pour initier et accélérer la réparation tissulaire.
Ces protéines peuvent initier la cicatrisation des tissus comme les ménisques, le cartilage, l’os, la coiffe des rotateurs de l’épaule, avec développement de nouveaux vaisseaux et du processus de cicatrisation. Le PRP incite les cellules souches à réparer la lésion. Le PRP est une option thérapeutique pour de nombreuses pathologies orthopédiques, ou en cas d’échec du traitement chirurgical, ou pour parfaire et raccourcir la période post-opératoire.
La thérapie PRP est considérée comme une technique de pointe utilisée depuis quelques années en Europe et aux USA.
Le PRP, qui est un concentré de plaquettes d’environ 5 fois supérieur au taux normal, est obtenu par centrifugation de sang autologue prélevé sur le patient (environ 60cc). Cela permet d’enlever les autres composés du sang, globules rouges et blancs. On obtient aussi du PRP, mais en volume moindre, après centrifugation de moelle osseuse. Le séparateur cellulaire permet en 15 minutes d’augmenter la concentration des plaquettes et des facteurs de croissance de plus de 500 %. Les plaquettes concentrées sont ensuite ré-injectées dans la zone pathologique. Ces plaquettes libèrent des facteurs de croissance en grand nombre, jusqu’à huit fois plus, permettant la cicatrisation des tissus lésés, en stimulant les cellules souches locales et réduisant inflammation et hémorragie.
Ces plaquettes (responsable de la formation de caillots lors de la coagulation sanguine) libèrent, au contact de la lésion ostéocartilagineuse du genou, ou des lésions ligamentaires et tendineuses, une douzaine de puissantes protéines contenues dans les granules alpha des plaquettes et responsables de la cicatrisation tissulaire.
Le PRP peut accélérer le processus de cicatrisation de l'arthrose du genou, des lésions du cartilage et méniscale, du ligament ou de tendons, seul ou associé avec les cellules souches en raison de la présence de facteurs de croissance essentiels incluant : platelet-derived growth factor (PDGF), transforming growth factor beta (TGF beta), etc… stimulant la formation des vaisseaux, des cellules osseuses, cartilage…
Le PRP est sous forme liquide
Il peut être transformé sous forme de gel : Platelet Gel, en 5 secondes, en le mixant avec un
mélange de thrombine et de chlorure de calcium, permettant aux puissants composants
cicatrisant de rester en place lors de l’application. Le platelet Gel est utile dans certains cas
cliniques.
L’injection de PRP
Elle se fait sous anesthésie locale ou légère sédation avec préparation aseptique de la zone
d’injection.
Arthrose du genou (ou de hanche) : L’injection est intra-articulaire.
Lésions ostéoligamentaires ou tendineuses : injection de PRP directement sur la zone lésée, l'injection se fait parfois sous contrôle échographique, si lésion profonde, permettant l'injection directe du produit dans la lésion.
Après 10 minutes environ de repos, le patient retourne à domicile.
Des gestes sont parfois associés et recommandé par le chirurgien, selon les cas.
- arthroscopie du genou pour microperforations des lésions défect de cartilage, stimulant avec le PRP la croissance du cartilage
- avivement osseux ou scarifications en sous cutané, dans les lésions de tendinite chronique
Suivi post-injection
Une réaction inflammatoire avec douleur modérée est possible pendant 1 semaine.
Le contrôle se fait à 3 ou 4 semaines, on détermine si une nouvelle injection est indiquée. En
pratique, de 1 à 3 injections peuvent être nécessaires, à 1 mois d’intervalle.
Après l’injection, il est conseillé d’éviter les anti-inflammatoires, pendant 1 mois, pour ne pas perturber la réaction inflammatoire naturelle du PRP. Mais des antalgiques sont autorisés.
> PLUS D'INFOS SUR LE PRP