Arthrose du genou,
Cellules Souches et PRP
CSM, Cellules Souches Mésenchymateuses
Les Cellules Souches Mésenchymateuses de moelle osseuse concentrée
Les maladies ostéo-musculaires sont le plus grand groupe des maladies chroniques et la plus grande cause d'invalidité de la population active. L’ostéoarthrose du genou est le problème le plus fréquent. Souvent, le développement dégénératif commence par une blessure au cartilage sur la surface portante du condyle, après un traumatisme, ou des lésions méniscales. Cela entraîne des dégénérescences dans le cartilage environnant, indicatif d'arthrose.
Malheureusement le cartilage articulaire montre une capacité très limitée de guérison : Le cartilage ne peut se régénérer seul.
Les maladies ostéo-musculaires sont le plus grand groupe des maladies chroniques et la plus grande cause d'invalidité de la population active. L’ostéoarthrose du genou est le problème le plus fréquent. Souvent, le développement dégénératif commence par une blessure au cartilage sur la surface portante du condyle, après un traumatisme, ou des lésions méniscales. Cela entraîne des dégénérescences dans le cartilage environnant, indicatif d'arthrose.
Malheureusement le cartilage articulaire montre une capacité très limitée de guérison : Le cartilage ne peut se régénérer seul.
Les techniques actuelles de réparation du cartilage :
Les défects du cartilage articulaire du genou ont un potentiel faible d’auto-réparation à cause de la capacité mitotique réduite des chondrocytes in vivo. Parce que les patients avec défects de cartilage articulaire peuvent progresser vers l’arthrose, de tels défects doivent être réparés.
Des méthodes traditionnelles pour la réparation comme les micro-fractures, l'abrasion arthroplastie, ont été développées pour combler les défects de cartilage qui améliorent dans 70% des cas, et sur des défects de surface réduite. Mais jusqu'ici aucune n’ont été capables de produire le cartilage hyalin normal (seulement un fibro-cartilage avec dégradation progressive dans le temps, car le fibro-cartilage généré est biomécaniquement inférieur au cartilage naturel hyalin) et n'ont pas produit de résultats cliniques satisfaisants à long terme.
Les techniques de restauration incluent la greffe ostéochondrale avec greffe prélevée sur cadavre, la greffe ostochondrale autologue, la transplantation de chondrocytes autologues. Ces techniques ont leur propre limitation empêchant un usage clinique large. Les allogreffes nécessitent une sélection des donneurs et un système de prélèvement efficace. La greffe ostéochondrale autologue est indiquée pour les petits défects ne dépassant pas 1 cm2. Les techniques d'implantation de chondrocyte n’ont pas démontré leur supériorité sur les autres techniques de réparation de cartilage. C’est une solution pour les lésions du cartilage de type traumatique ou ostéochondrite mais non pour l’arthrose. De plus, deux procédures chirurgicales sont nécessaires, biopsie et transplantation, avec le risque de contamination bactérienne lors de la culture, une manipulation in vitro, avec possible contamination et transformation maligne en cas d'altérations génétiques de cellules cultivées.
Aucune méthode actuelle n’est satisfaisante pour la réparation de la lésion articulaire due à une blessure sportive ou à l’arthrose dégénérative. Par conséquent, il y a un besoin d'une meilleure technique de réparation causant moins de morbidité.
Les défects du cartilage articulaire du genou ont un potentiel faible d’auto-réparation à cause de la capacité mitotique réduite des chondrocytes in vivo. Parce que les patients avec défects de cartilage articulaire peuvent progresser vers l’arthrose, de tels défects doivent être réparés.
Des méthodes traditionnelles pour la réparation comme les micro-fractures, l'abrasion arthroplastie, ont été développées pour combler les défects de cartilage qui améliorent dans 70% des cas, et sur des défects de surface réduite. Mais jusqu'ici aucune n’ont été capables de produire le cartilage hyalin normal (seulement un fibro-cartilage avec dégradation progressive dans le temps, car le fibro-cartilage généré est biomécaniquement inférieur au cartilage naturel hyalin) et n'ont pas produit de résultats cliniques satisfaisants à long terme.
Les techniques de restauration incluent la greffe ostéochondrale avec greffe prélevée sur cadavre, la greffe ostochondrale autologue, la transplantation de chondrocytes autologues. Ces techniques ont leur propre limitation empêchant un usage clinique large. Les allogreffes nécessitent une sélection des donneurs et un système de prélèvement efficace. La greffe ostéochondrale autologue est indiquée pour les petits défects ne dépassant pas 1 cm2. Les techniques d'implantation de chondrocyte n’ont pas démontré leur supériorité sur les autres techniques de réparation de cartilage. C’est une solution pour les lésions du cartilage de type traumatique ou ostéochondrite mais non pour l’arthrose. De plus, deux procédures chirurgicales sont nécessaires, biopsie et transplantation, avec le risque de contamination bactérienne lors de la culture, une manipulation in vitro, avec possible contamination et transformation maligne en cas d'altérations génétiques de cellules cultivées.
Aucune méthode actuelle n’est satisfaisante pour la réparation de la lésion articulaire due à une blessure sportive ou à l’arthrose dégénérative. Par conséquent, il y a un besoin d'une meilleure technique de réparation causant moins de morbidité.
Les cellules souches mésenchymateuses CSM :
La génération de cartilage et d’os par les cellules de moelle osseuse autologues ou de tissus graisseux utilisant une procédure en une étape, représente une approche plus sûre. La formation d’os ou de cartilage nouveau, voie naturelle des cellules souches stimulées sur une matrice
osseuse, représente une approche idéale, les cellules souches seules étant quiescente, inactives. L’utilisation de CSM, cellules multipotentielles, est une partie importante d’ingénierie tissulaire pour régénérer les défects ostéocartilagineux.
Au contraire des autres techniques, la technique proposée est simple et peu coûteuse, basée sur la physiologie normale de la cellule souche mésenchymateuse.
L’origine des cellules souches mésenchymateuses :
Elles proviennent surtout de la moelle osseuse autologue aspirée au niveau de la crête iliaque, postérieure ou antérieure, plus spécifiques (cellules C34) à la transformation en ostéoblaste et chondroblaste - soit du tissu graisseux obtenu par lipoaspiration de graisse au-dessus de la crête iliaque externe (les flancs). Les cellules souches sont récupérées par centrifugation de moelle osseuse par un séparateur cellulaire en 7-15 minutes selon le système.
L’implantation des cellules souches dans l'arthrose grave du genou se fait en UNE étape, sans culture :
Dans la même salle de bloc opératoire, toutes les procédures se font en une seule étape : anesthésie locale ou générale, prélèvement de moelle osseuse, centrifugation, préparation des cellules souches avec des facteurs protéiques stimulant leur croissance et du PRP, mise en place des cellules souches sur une matrice biologique permettant leur transport et l’implantation directe sur la lésion arthrosique pour repousse de cartilage, après préparation arthroscopique arthrolyse des lésions arthrosiques et traitement des lésions mécaniques du genou.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire utilise les cellules souches en deux temps, avec prélèvement puis mise en culture, avec un risque de manipulation et de contamination bactérienne et un risque d’altération génétique des cellules souches cultivées. Ou utilise une injection pure dans l'arthrose grave du genou sans préparation préalable par arthroscopie arthrolyse et traitement des lésions mécaniques, sans résultat clinique.
Les cellules souches mésenchymateuses seules sont quiescentes, inactives :
Leur croissance doit être stimulée pour une utilisation en une seule étape. Elles doivent être incitées à se multiplier pour coloniser le défect ostéochondral ou la lésion arthrosique, avec perte d’os et de cartilage, et se transformer en os et/ou cartilage.
Les travaux du Professeur S.Slavin ont démontré que les cellules souches sont fortement stimulées dans leur multiplication en les mixant avec des protéines osseuses BMP provenant d'une matrice osseuse déminéralisée, technique brevetée, ou avec du PRP. La réalisation des microforages des zones d'arthrose relarguent les BMP du patient et activent aussi les cellules souches mésenchymateuses.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire se contente d’injecter dans l’articulation des cellules souches non activées, donc sans possibilité de cicatrisation des lésions arthrosiques.
Les cellules souches mésenchymateuses activées sont directement implantées contre la lésion arthrosique du genou :
Réalisé sous arthroscopie, en utilisant une matrice de transport (ou scaffold) bio-résorbable à base d’hydroxyapatite et de collagène. Dans certains cas d’arthrose du genou précoce (limitée), ou grave avec critères d’exclusion de transplantation de cellules souches, ou d’arthrose précoce de hanche, des injections intra-articulaires de forte concentration de cellules souches activées sont pratiquées, seules ou en association avec PRP.
Le nombre des cellules souches :
Le nombre de cellules souches joue un rôle critique dans le succès de la procédure.
Le concentré obtenu après séparateur cellulaire de la moelle osseuse contient environ
100 000 cellules souches. La mise en culture permet d’obtenir jusqu’à mille fois le nombre de cellules souches, mais cette procédure en deux étapes a été supprimée grâce à l’activation des cellules souches par une matrice protéique déminéralisée et du PRP, mixés avec les cellules souches avant leur transplantation ou injection.
Il a été prouvé que cette activation stimule la croissance et la multiplication des cellules souches (isolées, elles sont inactives) et va permettre la croissance de cartilage et/ou d’os et leur mise en culture est devenue inutile.
La génération de cartilage et d’os par les cellules de moelle osseuse autologues ou de tissus graisseux utilisant une procédure en une étape, représente une approche plus sûre. La formation d’os ou de cartilage nouveau, voie naturelle des cellules souches stimulées sur une matrice
osseuse, représente une approche idéale, les cellules souches seules étant quiescente, inactives. L’utilisation de CSM, cellules multipotentielles, est une partie importante d’ingénierie tissulaire pour régénérer les défects ostéocartilagineux.
Au contraire des autres techniques, la technique proposée est simple et peu coûteuse, basée sur la physiologie normale de la cellule souche mésenchymateuse.
L’origine des cellules souches mésenchymateuses :
Elles proviennent surtout de la moelle osseuse autologue aspirée au niveau de la crête iliaque, postérieure ou antérieure, plus spécifiques (cellules C34) à la transformation en ostéoblaste et chondroblaste - soit du tissu graisseux obtenu par lipoaspiration de graisse au-dessus de la crête iliaque externe (les flancs). Les cellules souches sont récupérées par centrifugation de moelle osseuse par un séparateur cellulaire en 7-15 minutes selon le système.
L’implantation des cellules souches dans l'arthrose grave du genou se fait en UNE étape, sans culture :
Dans la même salle de bloc opératoire, toutes les procédures se font en une seule étape : anesthésie locale ou générale, prélèvement de moelle osseuse, centrifugation, préparation des cellules souches avec des facteurs protéiques stimulant leur croissance et du PRP, mise en place des cellules souches sur une matrice biologique permettant leur transport et l’implantation directe sur la lésion arthrosique pour repousse de cartilage, après préparation arthroscopique arthrolyse des lésions arthrosiques et traitement des lésions mécaniques du genou.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire utilise les cellules souches en deux temps, avec prélèvement puis mise en culture, avec un risque de manipulation et de contamination bactérienne et un risque d’altération génétique des cellules souches cultivées. Ou utilise une injection pure dans l'arthrose grave du genou sans préparation préalable par arthroscopie arthrolyse et traitement des lésions mécaniques, sans résultat clinique.
Les cellules souches mésenchymateuses seules sont quiescentes, inactives :
Leur croissance doit être stimulée pour une utilisation en une seule étape. Elles doivent être incitées à se multiplier pour coloniser le défect ostéochondral ou la lésion arthrosique, avec perte d’os et de cartilage, et se transformer en os et/ou cartilage.
Les travaux du Professeur S.Slavin ont démontré que les cellules souches sont fortement stimulées dans leur multiplication en les mixant avec des protéines osseuses BMP provenant d'une matrice osseuse déminéralisée, technique brevetée, ou avec du PRP. La réalisation des microforages des zones d'arthrose relarguent les BMP du patient et activent aussi les cellules souches mésenchymateuses.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire se contente d’injecter dans l’articulation des cellules souches non activées, donc sans possibilité de cicatrisation des lésions arthrosiques.
Les cellules souches mésenchymateuses activées sont directement implantées contre la lésion arthrosique du genou :
Réalisé sous arthroscopie, en utilisant une matrice de transport (ou scaffold) bio-résorbable à base d’hydroxyapatite et de collagène. Dans certains cas d’arthrose du genou précoce (limitée), ou grave avec critères d’exclusion de transplantation de cellules souches, ou d’arthrose précoce de hanche, des injections intra-articulaires de forte concentration de cellules souches activées sont pratiquées, seules ou en association avec PRP.
Le nombre des cellules souches :
Le nombre de cellules souches joue un rôle critique dans le succès de la procédure.
Le concentré obtenu après séparateur cellulaire de la moelle osseuse contient environ
100 000 cellules souches. La mise en culture permet d’obtenir jusqu’à mille fois le nombre de cellules souches, mais cette procédure en deux étapes a été supprimée grâce à l’activation des cellules souches par une matrice protéique déminéralisée et du PRP, mixés avec les cellules souches avant leur transplantation ou injection.
Il a été prouvé que cette activation stimule la croissance et la multiplication des cellules souches (isolées, elles sont inactives) et va permettre la croissance de cartilage et/ou d’os et leur mise en culture est devenue inutile.