Arthrose du genou,
Cellules Souches et PRP
Pathologies traitées et techniques
Les pathologies traitées par la thérapie cellulaire et les techniques associées
> LE GENOU
Arthrose de grade 3 ou 4 du genou, multi-surfaces, avec contact os-os
Un essai clinique, autorisé par l'ANSM et le Comité de Protection des Personnes, de transplantation de cellules souches activées a été réalisé de 2010 à 2013, extension 2014. Des centaines de patients, actifs, ont par la suite en pratique courante, été opérés de l'arthrose grave du genou par traitement conservateur de régénération cartilage par thérapie cellulaire, sous arthroscopie arthrolyse, associée éventuellement au traitement des lésions mécaniques (désaxation, ligament, ménisque). Les indications sont détaillées plus avant.
Le but est de favoriser la croissance de cartilage, en ralentissant ou annulant le processus de dégénérescence arthrosique, et d’éviter ou retarder la mise en place de la prothèse de genou. Les thérapies cellulaires sont aussi indiquées pour les arthroses globales évoluées, pour les patients actifs à bonne performance physique et sans surpoids, dans le cas contraire, la prothèse de genou a toute sa place - sauf dans les cas de contre-indications ou de refus de la chirurgie prothétique, pour soulager de façon temporaire la douleur et améliorer la fonction articulaire. Les résultats ont été publiés en 2013, 2014 et 2017.
DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE :
Elle est réalisée au bloc opératoire en un seul temps avec sortie dès le lendemain, retour à domicile, si pas de gestes de correction des lésions mécaniques du genou. Mobilité permise et libre du genou, marche en appui complet avec cannes si nécessaire. Un gonflement est normal le premier mois.
Hospitalisation de 4 jours si gestes de corrections mécaniques, réalisés 2 jours avant : ostéotomie, reconstruction du ligament croisé antérieur. La greffe de ménisque est réalisée lors de l'arthroscopie. Appui partiel et cannes 1 mois, attelle 3 semaines avec flexion 70°.
- Arthroscopie arthrolyse du genou : s’agissant d’une arthrose grade 3 à 4, l’arthroscopie est nécessaire pour régulariser les lésions méniscales et du cartilage. Préparation de la zone sans cartilage ou défect ostéocartilagineux par microperforations et abrasion pour recevoir la transplantation cellulaire. Traitement d’une éventuelle arthrose rotulienne par libération latérale pour décompression de rotule. Réalisation d’une libération décoaptation du ligament latéral interne et/ou externe selon siège de l'arthrose, éventuelle greffe de ménisque interne si perte de plus de 50% du capital méniscal.
- L'arthroscopie arthrolyse est précédée des gestes de correction mécanique (généralement 1 ou 2 jours avant, parfois dans le même temps si technique possible) : ostéotomie de réaxation si axe de plus de 5° (ostéotomie de valgisation tibiale si varus), addition interne et plaque type Newclip - ostéotomie de varisation fémorale si valgus de plus de 6°, addition externe plaque type OtisF ou Newclip ; reconstruction du ligament croisé si instabilité, éventuellement associée à l'ostéotomie.
- Avant l’arthroscopie une ponction aspiration de 60cc de moelle osseuse est réalisée sous anesthésie (rachi-anesthésie ou générale) au niveau de l’épine iliaque postéro-supérieure ou antéro-supérieure.
- Pendant la préparation arthroscopique le matériel aspiré est placé dans un séparateur cellulaire pour extraction des cellules mononucléées contenant les cellules souches (voir détails), avec
PRP.
- Implantation de cellules souches dans la zone articulaire détruite, sous arthroscopie, avec éventuel transporteur de type collagène.
SÉLECTION ET EXCLUSION DES PERSONNES DE LA RECHERCHE :
1. Critères d'Inclusion
2. Critères d'Exclusion
> LE GENOU
Arthrose de grade 3 ou 4 du genou, multi-surfaces, avec contact os-os
Un essai clinique, autorisé par l'ANSM et le Comité de Protection des Personnes, de transplantation de cellules souches activées a été réalisé de 2010 à 2013, extension 2014. Des centaines de patients, actifs, ont par la suite en pratique courante, été opérés de l'arthrose grave du genou par traitement conservateur de régénération cartilage par thérapie cellulaire, sous arthroscopie arthrolyse, associée éventuellement au traitement des lésions mécaniques (désaxation, ligament, ménisque). Les indications sont détaillées plus avant.
Le but est de favoriser la croissance de cartilage, en ralentissant ou annulant le processus de dégénérescence arthrosique, et d’éviter ou retarder la mise en place de la prothèse de genou. Les thérapies cellulaires sont aussi indiquées pour les arthroses globales évoluées, pour les patients actifs à bonne performance physique et sans surpoids, dans le cas contraire, la prothèse de genou a toute sa place - sauf dans les cas de contre-indications ou de refus de la chirurgie prothétique, pour soulager de façon temporaire la douleur et améliorer la fonction articulaire. Les résultats ont été publiés en 2013, 2014 et 2017.
DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE :
Elle est réalisée au bloc opératoire en un seul temps avec sortie dès le lendemain, retour à domicile, si pas de gestes de correction des lésions mécaniques du genou. Mobilité permise et libre du genou, marche en appui complet avec cannes si nécessaire. Un gonflement est normal le premier mois.
Hospitalisation de 4 jours si gestes de corrections mécaniques, réalisés 2 jours avant : ostéotomie, reconstruction du ligament croisé antérieur. La greffe de ménisque est réalisée lors de l'arthroscopie. Appui partiel et cannes 1 mois, attelle 3 semaines avec flexion 70°.
- Arthroscopie arthrolyse du genou : s’agissant d’une arthrose grade 3 à 4, l’arthroscopie est nécessaire pour régulariser les lésions méniscales et du cartilage. Préparation de la zone sans cartilage ou défect ostéocartilagineux par microperforations et abrasion pour recevoir la transplantation cellulaire. Traitement d’une éventuelle arthrose rotulienne par libération latérale pour décompression de rotule. Réalisation d’une libération décoaptation du ligament latéral interne et/ou externe selon siège de l'arthrose, éventuelle greffe de ménisque interne si perte de plus de 50% du capital méniscal.
- L'arthroscopie arthrolyse est précédée des gestes de correction mécanique (généralement 1 ou 2 jours avant, parfois dans le même temps si technique possible) : ostéotomie de réaxation si axe de plus de 5° (ostéotomie de valgisation tibiale si varus), addition interne et plaque type Newclip - ostéotomie de varisation fémorale si valgus de plus de 6°, addition externe plaque type OtisF ou Newclip ; reconstruction du ligament croisé si instabilité, éventuellement associée à l'ostéotomie.
- Avant l’arthroscopie une ponction aspiration de 60cc de moelle osseuse est réalisée sous anesthésie (rachi-anesthésie ou générale) au niveau de l’épine iliaque postéro-supérieure ou antéro-supérieure.
- Pendant la préparation arthroscopique le matériel aspiré est placé dans un séparateur cellulaire pour extraction des cellules mononucléées contenant les cellules souches (voir détails), avec
PRP.
- Implantation de cellules souches dans la zone articulaire détruite, sous arthroscopie, avec éventuel transporteur de type collagène.
SÉLECTION ET EXCLUSION DES PERSONNES DE LA RECHERCHE :
1. Critères d'Inclusion
- Patients Actifs (30 à 70-75 ans) ; Genre : Les deux
- Un défect ostéochondral grade 3 et 4 avec 3/4 de ménisque présent.
- Alignement du genou inférieur à 5°, axe de Kennedy proche de l'épine tibiale interne ou externe. Cartilage articulaire intact dans la zone portante postérieure méniscale.
- Genou stable avec antécédent de reconstruction de ligament, si stable.
- Un défect chondral de 6 cm2 ou plus, jusqu'à 8 cm2, sur chaque surface articulaire - kiss lésion acceptée et un score IKS < 75 (international Knee Society).
- Capacité de compréhension et engagement de signer le document de consentement expliquant le déroulement de l’essai clinique.
2. Critères d'Exclusion
- Patients d’âge inférieur à 30 ans et supérieur à 72-75 ans selon performance physique.
- La dégénérescence diffuse et avancée du cartilage articulaire du genou ou arthrose globale.
- Mal alignement axial de plus de 6-7° en déviation angulaire globale, perte du plus de 50% du capital méniscal, et instabilité ligamentaire sont des contre-indications relatives qui doivent être traitées en premier lieu, simultanément ou avant la transplantation.
- Le refus du patient de corriger ces conditions en présence d'une lésion de cartilage est un critère pour l'exclusion de l'étude afin d’éviter l'impact de ces pathologies de genou sur les résultats finaux.
- Infection existante dans ou autour du genou, et des lésions d'étiologie infectieuse ou oncologique.
- Grossesse, allaitement.
- Maladies inflammatoires type polyarthrite rhumatoïde et maladies auto-immunes
- Patients psychiatriques ; immunodéprimés ; avec pathologies auto-immunes et maladies inflammatoires systémiques.
- Etat neurologique ou vasculaire préopératoire pauvre du membre affecté.
- Des contre-indications spécifiques incluent l'utilisation de tabac et de médicaments quipeuvent détériorer la prolifération cellulaire, comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les immunosuppresseurs. Les patients doivent être sans nicotine (doivent arrêter de fumer) avant la procédure, des études ayant montré que l’effet oxydative des fumeurs détériore la fonction cellulaire et la guérison ultérieure.
- Les personnes particulièrement protégées définies dans les articles suivants du code de la santé publique : L. 1121-5 à 8 et L. 1122-1-2 sont exclues de l’étude.
Arthrose précoce du genou ou à petit défect ostéocartilagineux
La transplantation de cellules souches mésenchymateuses n’entre pas dans ce cadre et n’est pas indiquée. L’utilisation de l’injection intra articulaire de PRP (Platelet Rich Plasma), important élément de thérapie cellulaire et contenant de nombreux facteurs de croissance cellulaire, est indiquée seule ou après préparation arthroscopique et favorise la cicatrisation des lésions du cartilage et des ménisques.
DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE :
1. La préparation du PRP
Le PRP est obtenu après prélèvement sanguin simple du patient. Le sang autologue est ensuite passé sur un séparateur cellulaire, centrifugeur à circuit fermé, qui permet d’obtenir en 15 minutes une concentration 4 à 5 fois plus élevée de plaquettes que le taux normal.
2. L’injection intra articulaire de PRP
Une à deux injections intra-articulaires sont nécessaires, séparées d’1 mois. Elle se fait avec ou sans anesthésie locale, en ambulatoire, en clinique ou au cabinet, si une arthroscopie préalable n’est pas indiquée. Elle se fait souvent après échec de la visco supplémention : injection d’acide hyaluronique.
Une arthroscopie préalable est indiquée en cas de lésions méniscales instables et fragmentées La lésion méniscale horizontale stable peut cicatriser avec PRP - ou de défect cartilagineux prononcé ou d’arthrose fémoro-patellaire (rotulienne) associée - l’arthroscopie permet alors le
débridement des lésions méniscales et du cartilage, des microperforations des zones dénudées de cartilage, une libération latérale de la rotule.
L’injection de PRP réalisée soit à la fin du geste arthroscopique, au bloc opératoire, soit si nécessité d’un drainage aspiratif, dans les 10 jours post-opératoire. Le PRP a pour effet d’améliorer la cicatrisation et la formation du nouveau cartilage, et la cicatrisation des lésions méniscales.
La transplantation de cellules souches mésenchymateuses n’entre pas dans ce cadre et n’est pas indiquée. L’utilisation de l’injection intra articulaire de PRP (Platelet Rich Plasma), important élément de thérapie cellulaire et contenant de nombreux facteurs de croissance cellulaire, est indiquée seule ou après préparation arthroscopique et favorise la cicatrisation des lésions du cartilage et des ménisques.
DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE :
1. La préparation du PRP
Le PRP est obtenu après prélèvement sanguin simple du patient. Le sang autologue est ensuite passé sur un séparateur cellulaire, centrifugeur à circuit fermé, qui permet d’obtenir en 15 minutes une concentration 4 à 5 fois plus élevée de plaquettes que le taux normal.
2. L’injection intra articulaire de PRP
Une à deux injections intra-articulaires sont nécessaires, séparées d’1 mois. Elle se fait avec ou sans anesthésie locale, en ambulatoire, en clinique ou au cabinet, si une arthroscopie préalable n’est pas indiquée. Elle se fait souvent après échec de la visco supplémention : injection d’acide hyaluronique.
Une arthroscopie préalable est indiquée en cas de lésions méniscales instables et fragmentées La lésion méniscale horizontale stable peut cicatriser avec PRP - ou de défect cartilagineux prononcé ou d’arthrose fémoro-patellaire (rotulienne) associée - l’arthroscopie permet alors le
débridement des lésions méniscales et du cartilage, des microperforations des zones dénudées de cartilage, une libération latérale de la rotule.
L’injection de PRP réalisée soit à la fin du geste arthroscopique, au bloc opératoire, soit si nécessité d’un drainage aspiratif, dans les 10 jours post-opératoire. Le PRP a pour effet d’améliorer la cicatrisation et la formation du nouveau cartilage, et la cicatrisation des lésions méniscales.
Arthrose grave du genou, à taille limitée ou globale
La transplantation directe de cellules souches sous arthroscopie peut être non indiquée, soit parce que l’arthrose dégénérative est trop globale et avancée, avec disparition étendue de cartilage, soit parce qu’il existe un ou des critères d’exclusion. L’utilisation de combinaisons de la thérapie cellulaire peut améliorer la douleur et la fonction du genou, en diminuant le processus dégénératif, sur une durée limitée plus ou moins longue, en attendant la mise en place éventuelle de la prothèse de genou.
Les combinaisons de thérapie cellulaire proposées sont : l’injection intra-articulaire de PRP, associée ou non à l’injection de cellules souches.
DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE :
1. Une à deux injections intra-articulaires sont nécessaires, séparées d’1 mois.
2. Une arthroscopie pour débridement cartilage et méniscal, avec microperforations des zones dénudées de cartilage, peut améliorer la cicatrisation des lésions.
3. L’injection directe intra articulaire de cellules souches de moelle osseuse et/ou de PRP est indiquée dans ce cadre :
La transplantation directe de cellules souches sous arthroscopie peut être non indiquée, soit parce que l’arthrose dégénérative est trop globale et avancée, avec disparition étendue de cartilage, soit parce qu’il existe un ou des critères d’exclusion. L’utilisation de combinaisons de la thérapie cellulaire peut améliorer la douleur et la fonction du genou, en diminuant le processus dégénératif, sur une durée limitée plus ou moins longue, en attendant la mise en place éventuelle de la prothèse de genou.
Les combinaisons de thérapie cellulaire proposées sont : l’injection intra-articulaire de PRP, associée ou non à l’injection de cellules souches.
DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE :
1. Une à deux injections intra-articulaires sont nécessaires, séparées d’1 mois.
2. Une arthroscopie pour débridement cartilage et méniscal, avec microperforations des zones dénudées de cartilage, peut améliorer la cicatrisation des lésions.
3. L’injection directe intra articulaire de cellules souches de moelle osseuse et/ou de PRP est indiquée dans ce cadre :
- le prélèvement de moelle osseuse se fait sous anesthésie locale, au niveau de la crête iliaque postéro ou antéro-supérieure;
- les cellules souches sont récupérées par concentration sur séparateur cellulaire en 7-15 minutes, puis mixées pour activation avec PRP et/ou une matrice osseuses déminéralisée. Le liquide obtenu est directement injecté en intra articulaire ou intra synoviale, ou intra métaphysaire de la zone d'arthrose, sous anesthésie locale.
LE GENOU DU SPORTIF
- Les traumatismes répétés subi par le genou du sportif, avec lésions méniscales, du cartilage fémoral ou tibial, des ligaments croisés, avec parfois une ou plusieurs interventions, peuvent aboutir progressivement à la dégénérescence du cartilage et à l’arthrose. La transplantation de cellules souches mésenchymateuses, dans les cas d’arthrose grave, peut aboutir à la stabilisation de l’arthrose et à la croissance de cartilage. En post opératoire ou en cas de lésions traumatique partielle du ligament croisé, du ménisque ou du cartilage, une ou deux injections de PRP peut aider à la cicatrisation et à une récupération rapide de la fonction du genou, et surtout aider à la cicatrisation du cartilage et à la prévention de l’arthrose.
- Lésions partielles du ligament croisé antérieur (LCA), lésions partielles du ménisque surtout à fissure horizontale, lésion ligamentaire ligament latéral du genou, récupération rapide après intervention : ligamentoplastie LCA, réparation méniscale.
> LA HANCHE
Ostéonécrose tête fémorale
Elle peut être traitée par cellules souches activées et PRP, transplantées directement à l’intérieur de la tête fémorale, après résection de la zone nécrotique, microforages.
Arthrose précoce de type défect cartilage à taille limitée, de siège habituel supéro-externe
À la faveur de l'expérience acquise de traitement de l'arthrose du genou par microperforations et greffe de cellules souches, nous proposons un traitement nouveau, conservateur, dans les cas d'arthrose débutante, dans l'espoir de ralentir la dégradation arthrosique et favoriser la repousse de cartilage.
Par voies mini invasive : section décompression de la capsule articulaire, résection de conflit de hanche, microforages de la zone de défect de cartilage, éventuellement sous scopie, suivies d'une injection intra-articulaire de cellules souches activées et de PRP dans un mélange de collagène et d'acide hyaluronique.
Ostéonécrose tête fémorale
Elle peut être traitée par cellules souches activées et PRP, transplantées directement à l’intérieur de la tête fémorale, après résection de la zone nécrotique, microforages.
Arthrose précoce de type défect cartilage à taille limitée, de siège habituel supéro-externe
À la faveur de l'expérience acquise de traitement de l'arthrose du genou par microperforations et greffe de cellules souches, nous proposons un traitement nouveau, conservateur, dans les cas d'arthrose débutante, dans l'espoir de ralentir la dégradation arthrosique et favoriser la repousse de cartilage.
Par voies mini invasive : section décompression de la capsule articulaire, résection de conflit de hanche, microforages de la zone de défect de cartilage, éventuellement sous scopie, suivies d'une injection intra-articulaire de cellules souches activées et de PRP dans un mélange de collagène et d'acide hyaluronique.
Autres pathologies traitées par injection directe de PRP sur la lésion :
> L’ÉPAULE
> L’ÉPAULE
- Lésions partielles de la coiffe des rotateurs
- Lésions complètes grave de la coiffes des rotateurs, opérées.
- Lésions partielle tendon coiffe des rotateurs résistantes au traitement médical et/ou à l’acromioplastie décompressive.
- Lésion de coiffe complète et étendue opérée pour favoriser sa cicatrisation.
> LE COUDE
- Tennis elbow (épicondylite)
> LE PIED
- Tendinite chronique du Tendon d’Achille